Voici donc la dernière partie de cette série de vidéos. J’espère que cela vous aura plus. Nous retrouverons toutes les difficultés précédentes, donc il faudra avoir bien travaillé dans les parties 1 & 2. 😉
Dans l’article il y a : une vidéo avec des explications et une partition.
Nous continuons notre travail sur ce premier mouvement de sonate. Aujourd’hui le travail sera surtout sur les arpèges brisés. Prenez bien votre temps pour intégrer les doigtés, c’est très important.
Dans l’article il y a : une vidéo avec des explications et une partition.
Voici comme promis mon cadeau de noël, je pense que cela va faire plaisir à beaucoup de monde, enfin… je l’espère. Cette sonate si connue vous sera enfin accessible. N’oubliez pas de visionner la première vidéo où je vous donne quelques conseils et indications avant de commencer.
Joyeux noël à toutes et à tous !
Dans l’article il y a : une vidéo avec des explications et une partition.
Voici donc mon cadeau de noël pour les élèves débutants. C’est une très bonne adaptation de la partition originale. Elle est très bien pensée, comme je le dis dans la vidéo d’introduction, elle vous permettra de vous positionner. Si vous arrivez à la jouer, vous pourrez passer à la version originale.
Joyeux noël à toutes et à tous !
Dans l’article il y a : une vidéo avec des explications et une partition.
Réalisation : Pierre-Martin Juban (2008, 50 mn) Coproduction : ARTE France, Idéale Audience, BBC
Ce programme nous permet de retrouver le pianiste soviétique Emil Guilels au Conservatoire de Moscou en 1977 dans son répertoire de prédilection, avec des œuvres romantiques comme la Sonate pour piano n°12 de Beethoven et Arabesque de Schumann, ainsi que de la musique russe dont il est l’un des plus grands interprètes, avec la Sonate pour piano n°3 de Prokofiev et une étude de Scriabine. Chostakovitch disait de lui : « Il combine à la fois une grande liberté d’interprète et un respect absolu des intentions du compositeur ».
Encore une petite vidéo ! Maria Pires interprète un concerto pour piano de Beethoven. Une grand moment de musique à ne pas rater.
Pour ce programme, l’Orchestre de Paris fait appel à un casting de luxe : c’est Riccardo Chailly, le directeur musical du plus ancien orchestre du monde (le Gewandhaus de Leipzig), auréolé d’un remarquable enregistrement des symphonies de Beethoven paru à l’automne dernier, qui tiendra la baguette. Il avait déjà officié en direct sur le site lors du Festival Mahler 2011. La grande Maria Joao Pires fait elle aussi son retour sur ARTE Live Web après le remarquable concert qu’elle avait donné avec le Chamber Orchestra of Europe en septembre 2010 à la Cité de la Musique.
Nous nous retrouvons enfin ! Nous reprenons les classiques favoris, pour info nous en sommes à la moitié. 😉 Les vacances furent plus longues que prévu, et ce n’était pas pour me dorer la pilule au soleil…
Bref ! Nous reprenons notre ascension des classiques favoris avec la danse villageoise de Beethoven. Nous y retrouverons pas mal d’arpèges brisés à travailler. Et évidemment, des piqués indispensables pour le trio.
Continuons dans la démesure ! Déjà que la pièce précédente était à côté de la plaque concernant le classement, là nous culminons par la durée (2’59 » selon mon enregistrement) et la difficulté. Mais je n’ai pas le choix.
Pensons que la prochaine pièce sera l’Écossaise de Hummel.
Voici une pièce totalement à côté de la plaque au niveau de son classement. Le saut est magistral par rapport aux pièces suivantes qui redescendent en difficulté. Je fais référence à l’Ecossaise de Hummel, ou la Sonatine de Clementi par exemple.
Heureusement qu’il y a la mention : « Morceaux choisis, doigtés et classés progressivement »…